Que les choses soient dites : le Guronsan n’a jamais tué personne. Que certains, pour tenter d’oublier leurs humiliations répétées, colportent les pires rumeurs, c’est lamentable mais les poubelles de l’Histoire en regorgent. Et c’est surtout le sujet de la Justice de notre pays. Mais laisser croire que le rafraîchissement contenu dans nos malheureux bidons de 5 litres expliquerait de banals faits de match comme courir deux fois plus vite et 3 fois plus longtemps que son adversaire direct, éructer dans une langue inconnue durant 90’ contre le trio arbitral, ou encore remporter la bagarre générale hebdomadaire seul contre 11, il y a plus qu’un pas.
Rappelons que personne n’a pu prouver quoi que ce soit, tout simplement parce que tout est faux. Marre de ces procès staliniens, juste bons pour les gogos ! Que la presse fasse, pour une fois, son travail et que les Juges s’y mettent aussi. Elle révèlera au monde entier, dès la première audience, que seul un raccourci grotesque permettrait d’établir un lien entre un minuscule cachet et le fait que, depuis 36 ans, Alain Relier n’a jamais trouvé une seconde pour arrêter ses aller-retours dans le couloir droit lors d’un match de fin de saison pour ne pas descendre.
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